Avec la sortie des juvéniles en extérieur à partir du 20 avril jusqu’au 4 mai, les phases de reproduction et d’élevage des juvéniles se sont achevées avec de très bons résultats (voir l’article précédent).
La seule difficulté rencontrée a été la difficulté à faire reproduire les escargots sauvages destinés à renouveler le cheptel de reproducteurs.
Comme pour la tentative de l’année dernière avec des escargots pyrénéens (voir l’article) les escargots sauvages n’ont commencé à pondre que tardivement alors que la ponte des escargots «domestiques» s’achevait. Et encore, seulement une douzaine ont pondu (sur 120) sur près d’un mois entre la 1ère et la dernière ponte. Ce phénomène est d’autant plus curieux que les escargots domestiques sont eux aussi issus d’escargots issus du milieu naturel et que cette difficulté n’avait pas été rencontrée. Quoi qu’il en soit, près de 800 petits sauvages sont en grossissement et vont permettre de rajouter un peu de sang neuf dans la population.